CONFERENCE SALON MADE IN FRANCE DU 1ER SEPTEMBRE 2020 SUR LE THEME « B.A.BA DES PRATIQUES COLLABORATIVES »

4 mai 2024

Participaient à la table ronde : Agnès PANNIER-RUNACHER, Ministre déléguée à l’Industrie, Guillaume de Seynes, Président du CSF Mode et Luxe, Yves DUBIEF, Président de l’UIT, Guillaume GIBAULT, Président du Slip Français, Clarisse REILLE, Directeur Général du DEFI, Léa Marie, IFTH, Sophie PINEAU, membre du GFF et Présidente du GETEX, Marc PRADAL, Président de l’UFIMH et Kiplay SA, ainsi que Lucas DELATTRE, IFM et animateur.

 

Cette conférence a été l’occasion de rappeler l’importance de la collaboration et la solidarité entre les filières, travailler main dans la main et avec le soutien de l’Etat.

 

Madame Agnès Pannier-Runacher a salué la mobilisation rapide et massive de la filière et rappelé que l’industrie textile est dépendante d’une chaîne d’approvisionnement internationale sans faille.

 

Monsieur Guillaume de Seynes, Président du CSF, confirme qu’il faut travailler en synergie et concilier cette mobilisation et ce savoir-faire avec la prise de conscience de la durabilité et la transparence sur l’origine des produits.

 

Lien FashionNetwork : http://https://fr.fashionnetwork.com/news/Au-salon-made-in-france-la-crise-sanitaire-est-vue-comme-une-opportunite-pour-la-filiere,1240246.html

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7è FORUM DE LA MODE : LA FORMATION DE MAIN-D’ŒUVRE POUR LE LUXE AU CŒUR DES DEBATS

Mercredi 24 avril 2024, était organisé au Palais de Tokyo le 7è Forum de la Mode sur le thème « Une mode en transformation », soutenu par le ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique et le ministère de la Culture, dans le cadre du Comité Stratégique de Filière Mode & Luxe, la Fédération Française du Prêt-à-Porter Féminin et la Fédération de la Haute Couture et de la Mode réunissant les professionnels de la mode  qui ont unanimement reconnu la nécessaire revalorisation des métiers de la main. Ce, pour répondre à la pénurie de main-d’œuvre à laquelle sont confrontées les marques haut de gamme et de luxe. Deux tables-rondes étaient consacrées à la transmission des savoir-faire, l’évolution des techniques de production et la responsabilisation sociale et environnementale dans l’industrie. Pour répondre aux besoins de main-d’œuvre, l’insertion professionnelle, les migrants et les jeunes sortis des écoles sont les pistes retenues par les intervenants. « Nous avons une mission sociale, sociétale et environnementale », a défendu Jean Soufflet, directeur général de Résilience, un réseau d'ateliers de confection textile qui emploie des personnes éloignées de l'emploi. « Des savoir-faire, comme la fourrure, vont disparaître, mais d’autres innovations vont les remplacer, d’où l’importance de transmettre. L’idée est de s’approprier les nouveaux outils », a conclu Hans de Foer, directeur des programmes de Savoir Faire à l’Institut de la Mode (IFM).

CARTOGRAPHIE DES FABRICANTS FRANÇAIS D’UNIFORMES SCOLAIRES

La Maison du Savoir-Faire et de la Création procède actuellement, avec le groupe de travail Réindustrialisation de l’UFIMH, à une cartographie des fabricants français qui participent ou souhaitent participer aux uniformes scolaires.   Celle-ci permettra :  
  • aux industriels d’être identifiés comme acteur de la fabrication des uniformes scolaires
  • d’aider les entreprises de répondre aux appels d’offres
  • aux collectivités de bien connaitre les ressources de fabrication dans leurs régions,
  • de valoriser la relation locale entre collectivités et fabricants sans intermédiaire.
Ceci afin de faciliter un projet industriel global, qui participe au dynamisme de l'économie locale et garantisse qualité et durabilité pour les familles, les élèves et les établissements scolaires.     Retrouver les professionnels de la Mode et de l’Habillement qui participent à la production d’uniformes scolaires grâce au nouveau critère de recherche « production pour les uniformes scolaires » de la plateforme de la Maison du Savoir-Faire et de la Création.

Etude Ipsos & COFREET : L’importance de l’entretien dans l’achat des vêtements de seconde main

La seconde main continue de gagner du terrain en France, en particulier concernant les produits textiles et d'habillement, auprès des consommateurs. Réalisée par IPSOS pour le COFREET, cette étude revient sur les attentes et les exigences des acheteurs français de vêtements de seconde main. Il en découle des résultats intéressants et que nous avons le plaisir de vous communiquer, notamment le fait que 71% des acheteurs de seconde main consultent souvent les informations présentes sur l’étiquette pour l’entretien de leurs vêtements d'occasion. Ces résultats confortent le fait que l’étiquette d’entretien doit être conservée tout au long de la vie du textile afin de garantir et faire perdurer son parfait état. En savoir plus.