Clarisse Reille prend la direction générale de l’IFTH

Depuis fin mars 2022, Clarisse REILLE cumule les fonctions de Directrice Générale de l’IFTH et du DEFI.
Ingénieure de formation, diplômée de Centrale Paris et de l’ENA, Clarisse Reille dispose d’une expérience plurielle l’ayant conduit du secteur public aux secteurs privés, d’un poste de conseillère ministérielle à des postes de directions stratégiques ou opérationnelles.
A l’IFTH, elle aura à cœur de valoriser et de renforcer sa mission au service des acteurs économiques de la filière TEXTILE HABILLEMENT, mais également de créer des passerelles et des synergies avec le DEFI. L’objectif commun aux deux entités est de créer les conditions de succès pour accélérer la croissance des entreprises tout en favorisant au quotidien les conditions d’un consensus entre acteurs de la filière.
Lien : https://www.ifth.org/2022/04/22/nomination-ifth-accueille-sa-nouvelle-directrice-generale/
Photo : ©François Goizé
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2023 : nos voeux pour un affichage environnemental porteur de sens

- 👉 discussions au plus haut niveau politique de l’UE autour du projet de directive inspirée de la loi française sur le Devoir de Vigilance ;
- 👉Pacte vert européen avec des « warnings » avancés par la Commission européenne qui ont scandé 2022 et l’annonce d’un imminent REPD (règlement sur l’éco-conception pour des produits durables).
- 👉 le Traité international sur les pollutions plastiques dont le processus pourrait aboutir au printemps 2023 à Paris ; du moins telle est l'ambition de nos ministres de tutelles, apparemment ! Or, à cette aune, le relargage de certaines micofibres textiles est problématique : c'est l'un des principaux hotspots identifiés, dans nos activités.
- « Par conviction et désir de mieux communiquer sur nos produits -les vêtements d’image-, conformément à notre état d’esprit à la fois créatif et responsable, nous avons cherché à tester l’étiquetage environnemental, de manière volontaire », explique Dorothée Dufour-Hoofd, directrice Technique et Responsable RSE de Création & Image Paris. Cette PME de 20 personnes que dirige la vice-présidente de l’Ufimh, Claire Besançon, n’est pas assujettie, en tant qu’entreprise B to B, à cette disposition de la loi AGEC. « Nous nous sommes intéressées tout d’abord à la méthode du PEF avant de découvrir l’EDS qui nous a semblé plus accessible, avec des résultats cohérents à la clé» poursuit-elle.
- Une veste
- Une jupe
- Une écharpe
- Autre exemple : chez Getex que dirige la Présidente de Mode Grand Ouest, Sophie Pineau. L’expérimentation de l’EDSa été réalisée sur sa marque propre, So&J. « Le fabriquant n’a pas la main sur l’étiquette ; la marque si. » relève-t-elle. En l’occurrence, c’est « une marque confidentielle, avec une collection courte -3 à 4 modèles /an-, née de notre volonté de réutiliser les fins de rouleaux ou des restes de production sur des tissus que nous avons achetés, notamment ». L’expérimentation de l’EDS, entre janvier et septembre 2022 a précisément concerné trois types de vêtements :
- Une doudoune
- Un blouson
- Une parka