GRANDE EXPOSITION DU FABRIQUÉ EN FRANCE A L’ÉLYSÉE

8 mai 2024

La Grande Exposition du Fabriqué en France qui s’est tenue les 18 et 19 janvier 2020 à l’Elysée entendait montrer la diversité, la qualité, le dynamisme du « fabriqué en France », valoriser la richesse des territoires ainsi que les savoir-faire des entreprises et encourager à s’engager pour l’emploi et contre le réchauffement climatique en consommant français.

 

Un comité de sélection, présidé par Agnès Pannier-Runacher, Secrétaire d’Etat auprès du Ministre de l’Economie et des Finances, et composé de personnalités reconnues pour leur engagement en faveur du « fabriqué en France » s’est attaché à sélectionner les candidatures des entreprises par la présence de labels.

 

Figuraient parmi les produits présentés :

Jean 103 Superflex Denim Indigo par 1083
Veste Rosbras ciré jaune traditionnel breton par Guy Cotten SAS
Polo en coton français par Jean Fil
Bonnet par Les Ateliers Peyrache – Blanc Bonnet
Tunique de danse par Degas
Veste unisexe en toile de jean par Act 1892 – Atelier Tuffery
Pull marin par Bonneterie Le Minor
Caban 100 % laine par Balsan
Béret basque par Laulhère
Parapluie l’Antibourrasque par Le Véritable Cherbourg
Aiguilles à coudre par Bohin

.
Partagez cet article sur :

/ Autres articles /

7è FORUM DE LA MODE : LA FORMATION DE MAIN-D’ŒUVRE POUR LE LUXE AU CŒUR DES DEBATS

Mercredi 24 avril 2024, était organisé au Palais de Tokyo le 7è Forum de la Mode sur le thème « Une mode en transformation », soutenu par le ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique et le ministère de la Culture, dans le cadre du Comité Stratégique de Filière Mode & Luxe, la Fédération Française du Prêt-à-Porter Féminin et la Fédération de la Haute Couture et de la Mode réunissant les professionnels de la mode  qui ont unanimement reconnu la nécessaire revalorisation des métiers de la main. Ce, pour répondre à la pénurie de main-d’œuvre à laquelle sont confrontées les marques haut de gamme et de luxe. Deux tables-rondes étaient consacrées à la transmission des savoir-faire, l’évolution des techniques de production et la responsabilisation sociale et environnementale dans l’industrie. Pour répondre aux besoins de main-d’œuvre, l’insertion professionnelle, les migrants et les jeunes sortis des écoles sont les pistes retenues par les intervenants. « Nous avons une mission sociale, sociétale et environnementale », a défendu Jean Soufflet, directeur général de Résilience, un réseau d'ateliers de confection textile qui emploie des personnes éloignées de l'emploi. « Des savoir-faire, comme la fourrure, vont disparaître, mais d’autres innovations vont les remplacer, d’où l’importance de transmettre. L’idée est de s’approprier les nouveaux outils », a conclu Hans de Foer, directeur des programmes de Savoir Faire à l’Institut de la Mode (IFM).

CARTOGRAPHIE DES FABRICANTS FRANÇAIS D’UNIFORMES SCOLAIRES

La Maison du Savoir-Faire et de la Création procède actuellement, avec le groupe de travail Réindustrialisation de l’UFIMH, à une cartographie des fabricants français qui participent ou souhaitent participer aux uniformes scolaires.   Celle-ci permettra :  
  • aux industriels d’être identifiés comme acteur de la fabrication des uniformes scolaires
  • d’aider les entreprises de répondre aux appels d’offres
  • aux collectivités de bien connaitre les ressources de fabrication dans leurs régions,
  • de valoriser la relation locale entre collectivités et fabricants sans intermédiaire.
Ceci afin de faciliter un projet industriel global, qui participe au dynamisme de l'économie locale et garantisse qualité et durabilité pour les familles, les élèves et les établissements scolaires.     Retrouver les professionnels de la Mode et de l’Habillement qui participent à la production d’uniformes scolaires grâce au nouveau critère de recherche « production pour les uniformes scolaires » de la plateforme de la Maison du Savoir-Faire et de la Création.

Etude Ipsos & COFREET : L’importance de l’entretien dans l’achat des vêtements de seconde main

La seconde main continue de gagner du terrain en France, en particulier concernant les produits textiles et d'habillement, auprès des consommateurs. Réalisée par IPSOS pour le COFREET, cette étude revient sur les attentes et les exigences des acheteurs français de vêtements de seconde main. Il en découle des résultats intéressants et que nous avons le plaisir de vous communiquer, notamment le fait que 71% des acheteurs de seconde main consultent souvent les informations présentes sur l’étiquette pour l’entretien de leurs vêtements d'occasion. Ces résultats confortent le fait que l’étiquette d’entretien doit être conservée tout au long de la vie du textile afin de garantir et faire perdurer son parfait état. En savoir plus.