Savoir pour Faire publie le guide d’orientation dédié aux métiers de la mode et du luxe

Le Comité Stratégique de Filière Mode & Luxe (CSF) édite un guide d’orientation interactif, destiné aux internautes et disponible en ligne, incluant des vidéos et des podcasts, sur les opportunités de carrière dans le cadre de sa campagne « Savoir pour faire ».
Extrait du guide d’orientation publié par « Savoir pour Faire » – CSF Mode & Luxe
80 métiers techniques, plus de 250 formations et 10 000 postes sont à pourvoir dans les secteurs de la bijouterie, joaillerie, horlogerie, arts de la table, textile, couture, habillement, tannerie mégisserie, maroquinerie et chaussure.
Pour chaque secteur, le guide propose un rappel chiffré de l’activité, une cartographie des régions où des formations sont disponibles, le type d’employeurs et de professions concernées et les métiers en tension. Il existe beaucoup d’écoles publiques et donc gratuites ou presque.
« Savoir pour Faire » tient par ailleurs une chaîne Youtube régulièrement alimentée en informations métiers et formations.
Source : Fashionnetwork « Savoir pour Faire » lance un guide d’orientation dédié aux métiers et formations de la filière mode (fashionnetwork.com)
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2023 : nos voeux pour un affichage environnemental porteur de sens

- 👉 discussions au plus haut niveau politique de l’UE autour du projet de directive inspirée de la loi française sur le Devoir de Vigilance ;
- 👉Pacte vert européen avec des « warnings » avancés par la Commission européenne qui ont scandé 2022 et l’annonce d’un imminent REPD (règlement sur l’éco-conception pour des produits durables).
- 👉 le Traité international sur les pollutions plastiques dont le processus pourrait aboutir au printemps 2023 à Paris ; du moins telle est l'ambition de nos ministres de tutelles, apparemment ! Or, à cette aune, le relargage de certaines micofibres textiles est problématique : c'est l'un des principaux hotspots identifiés, dans nos activités.
- « Par conviction et désir de mieux communiquer sur nos produits -les vêtements d’image-, conformément à notre état d’esprit à la fois créatif et responsable, nous avons cherché à tester l’étiquetage environnemental, de manière volontaire », explique Dorothée Dufour-Hoofd, directrice Technique et Responsable RSE de Création & Image Paris. Cette PME de 20 personnes que dirige la vice-présidente de l’Ufimh, Claire Besançon, n’est pas assujettie, en tant qu’entreprise B to B, à cette disposition de la loi AGEC. « Nous nous sommes intéressées tout d’abord à la méthode du PEF avant de découvrir l’EDS qui nous a semblé plus accessible, avec des résultats cohérents à la clé» poursuit-elle.
- Une veste
- Une jupe
- Une écharpe
- Autre exemple : chez Getex que dirige la Présidente de Mode Grand Ouest, Sophie Pineau. L’expérimentation de l’EDSa été réalisée sur sa marque propre, So&J. « Le fabriquant n’a pas la main sur l’étiquette ; la marque si. » relève-t-elle. En l’occurrence, c’est « une marque confidentielle, avec une collection courte -3 à 4 modèles /an-, née de notre volonté de réutiliser les fins de rouleaux ou des restes de production sur des tissus que nous avons achetés, notamment ». L’expérimentation de l’EDS, entre janvier et septembre 2022 a précisément concerné trois types de vêtements :
- Une doudoune
- Un blouson
- Une parka
Avent … une re-définition de la responsabilité élargie de nos filières (Part.2)


- à travers ce cahier des charges révisité, écoconception, traçabilité réparation font figure de valeurs montantes. Bonus financiers à la clé. Autrement dit des "primes" sont prévues, elles serviront à "moduler" l'écocontribution due par chaque metteur en marché.
- Inciter les détenteurs de vêtements à les faire réparer, chez un professionnel agréé, voilà qui est inédit en France :
